Une ville propre c’est l’affaire de tou·tes !
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Samedi 26 mai s’est tenue la 3e édition de la Belle Saison, journée festive autour de l’embellissement et de l’entretien  de l’espace public. L’occasion de faire un point sur l’appel à participation lancé par la Ville pour prendre soin de Grenoble.

425 agent·es mobilisé·es quotidiennement pour l’entretien et l’embellissement de la ville

L’entretien et l’embellissement de la ville sont l’affaire de tous ; ce sont aussi des missions confiées à 425 agent·es des services de la Propreté urbaine et des Espaces verts qui entretiennent quotidiennement l’équivalent de 15 terrains de foot ! Deux services qui ont vu leurs effectifs permanents maintenus et ont su se réorganiser pour s’adapter aux changements de la ville. Depuis février 2017, les nouvelles plages horaires d’intervention sur l’espace public (de 6h à 19h)  du service de la Propreté urbaine ont permis un gain de 10% de travail effectif et une présence accrue sur le terrain pour un service dont la baisse du taux d’absentéisme (inférieur à la moyenne nationale) démontre la forte motivation des équipes et leur implication sur le terrain.

L’affaire de tou·tes !

Une ville propre, c’est une ville qu’on ne salît pas ! Au-delà du travail des agent·es, l’entretien de la ville est l’affaire de tou·tes. C’est tout le sens de la Belle Saison organisée chaque année depuis 2015 : promouvoir les bonnes pratiques et sensibiliser les habitant·es à travers un temps festif et convivial au contact des cantonnier·ères.

Infractions : ce qui va changer

Actuellement, les agent·es de la police municipale sont seul·es assermenté·es pour verbaliser les usager·ères en infraction sur l’espace public : jet de mégot, non ramassage des déjections canines… Chargé·es de nombreuses autres missions, la prise en flagrant délit est parfois compliquée. C’est pourquoi des agent·es de la Direction Environnement et Cadre de Vie seront prochainement assermenté·es et seront donc habilité·es à verbaliser. Le premier objectif reste d’aller vers les contrevenant·es pour les sensibiliser aux bons gestes. Mais les réfractaires et multirécidivistes pourront se voir infliger une amende : 432 infractions ont déjà été verbalisées en 2017. L’espace public est un bien public que nous devons donc tous respecter.