Groupe des élus du Rassemblement Citoyen, de la Gauche et des Ecologistes
Élus concernés : Jacques Wiart
Élus concernés : Jacques Wiart
Conseiller municipal délégué aux Déplacements et à la Logistique urbaine
Cadre dans le secteur environnemental, Jacques Wiart est un citoyen engagé et impliqué depuis toujours dans les enjeux « environnement et sociétés ». Il a d’abord travaillé comme écologue en Isère puis à la Chambre d’agriculture de Bourg-en-Bresse avant de rejoindre un établissement public à l’expertise nationale et européenne sur les déchets organiques. Installé à Grenoble en 2001, il appuie depuis les politiques publiques ou les initiatives privées dans leurs démarches de performance énergétique.
En tant que conseiller délégué aux Déplacements et à la logistique urbaine, Jacques Wiart a comme grande ligne de mire de son mandat la réduction de la pollution atmosphérique à Grenoble. Pour ce faire, il mène des politiques volontaristes en faveur du développement des zones 30 en ville, de l’amélioration du stationnement des résidents et du triplement de la pratique du vélo à l’horizon 2020. Il œuvre également pour la rationalisation de la logistique urbaine afin de réduire les émissions de gaz à effet de serre et de particules fines liées au transport de marchandises.
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Quatre conventions importantes en matière de santé et d’habitat seront présentées lors du conseil municipal du 23 septembre 2019 : avec la CAF et l’ADIL pour améliorer la Lutte contre l’habitat indigne, avec l’Agence Régionale de Santé (ARS) pour un soutien financier à des actions de prévention en santé publique, et enfin un partenariat avec le Groupement de Coopération sociale et Médico-Sociale « Un chez soi d’abord ».
Grenoble soutient le projet de Bus à Haut Niveau de Service (BHNS) Grenoble-Montbonnot ! Lors du conseil municipal du 23 septembre 2019, la municipalité s’engagera dans ce sens afin de relier plus rapidement le cœur métropolitain à Meylan et Montbonnot !
Le dérèglement climatique est d’ores et déjà une réalité. Alors qu’en Europe les Etats patinent, ralentis par les lobbies, les villes et les villages peuvent faire vivre la transition écologique et solidaire. Les territoires sont des acteurs essentiels pour réussir les transitions, au plus près des besoins des habitant·es. Grenoble et sa Métropole agissent. Elles agissent pour limiter ce dérèglement et agissent pour s’adapter à ses effets !
Depuis 2018, les Ateliers de projet permettent à 30 habitant·es d’analyser un sujet municipal et de proposer des pistes d’actions visant à faire évoluer l’action publique. Le 13 mai 2019, pour la première fois en conseil municipal, ses membres se sont exprimé·es sur la cohabitation piéton·nes/cycles.
Depuis 2011, la ligne Grenoble Lyon, première ligne ferroviaire de la région Auvergne Rhône Alpes, est considérée comme « malade », du fait d’un nombre de retards importants et d’une qualité de service dégradée. Alors qu’un projet relatif à l’aménagement du nœud ferroviaire lyonnais est enfin à l’étude, il est nécessaire de saisir cette occasion pour élargir la réflexion sur l’ensemble de la ligne Grenoble Lyon. Il y a une urgence, à la fois écologique et énergétique, à agir.
La pollution atmosphérique est responsable d’1 décès tous les 3 jours dans le bassin grenoblois. Résolues à inverser la tendance dans la bataille pour un air respirable, Grenoble et 10 autres communes de la Métropole deviennent, le 2 mai 2019, Zone à Faibles Emissions.
Vendredi 15 février, à quelques jours du début des travaux sur l’autoroute A480, les 4 porteurs du projet (AREA, Etat, Département et Métropole) en ont présenté les grandes lignes. Pour la majorité municipale grenobloise, qui a exprimé à maintes reprises ses nombreuses réserves, en l’état, le projet ne permet pas de répondre aux enjeux environnementaux du 21ème siècle.
Communiqué de presse de la Ville de Grenoble faisait suite aux propos stupéfiants de la Commission d’Enquête A 480 aux remarques émises par des citoyens sur les aspects de la qualité de l’air.
Grenoble continue d’innover sur les mobilités ! Après avoir été la première ville de France à expérimenter les certificats Crit’Air, elle se positionne une nouvelle fois comme leader en la matière avec deux nouveautés à venir : le renforcement de sa Zone Faible Emission (ZFE) et la mise en place d’une indemnité kilométrique vélo (IKV) pour les agents municipaux ! Avec toujours comme objectif de bouleverser les pratiques en termes de déplacement et rompre avec le modèle précédent !
Le 9 juillet 2018, la Ville de Grenoble rendra son avis sur le Plan de Déplacements Urbains (PDU) élaboré par le SMTC. Une étape majeure pour répondre aux impératifs environnementaux, sanitaires et sociaux d’aujourd’hui par l’organisation de l’ensemble des modes de déplacements à l’échelle de la Métropole à l’horizon 2030.
Le 22 janvier dernier, la Commission européenne imposait à 9 pays (dont la France) de mettre toute en œuvre afin de respecter les normes européennes sur la qualité de l’air. C’est dans ce contexte que les collectivités locales ont élaboré une « feuille de route » opérationnelle afin d’enregistrer des progrès rapides dans la région grenobloise.
Si la qualité de l’air s’est améliorée ces dernières années sur l’agglomération grenobloise, les seuils réglementaires concernant les particules fines, le dioxyde d’azote et l’ozone sont encore dépassés de manière récurrente, mettant en danger la santé des habitant·e·s. Pour changer la donne, de nouvelles actions des collectivités sont nécessaires. L’extension de la Zone Basses Emissions pour les marchandises annoncée sur le territoire métropolitain n’est qu’une première étape.
En 2018, le projet métropolitain Cœurs de Ville – Cœurs de Métropole commence à prendre forme. Entre le développement de l’axe Chronovélo 4, l’extension du plateau piéton et la transformation de la place Grenette, les travaux qui vont démarrer prochainement contribueront à améliorer le cadre de vie et à développer l’attractivité commerciale du centre-ville grenoblois.
Lors du conseil municipal du 10 juillet 2017, la Ville de Grenoble avait rendu son avis sur le projet de réaménagement du Rondeau et de l’A480 : favorable pour le Rondeau, mais très réservé pour l’A480. Alors que l’enquête publique est aujourd’hui ouverte, les réserves ne sont quant à elles pas toutes levées.
Le 20 novembre 2017, Eric Piolle, Yann Mongaburu et Christophe Ferrari inauguraient un nouveau tronçon de l’axe Chronovélo 2. Un axe de 4,5 km qui permet désormais une traversée de Grenoble à vélo 100 % sécurisée, et qui préfigure le réseau de 44 km qui est en train de se mettre en place sur Grenoble et la Métropole. Reportage en caméra embarquée depuis l’avenue des Jeux Olympiques jusqu’au Cours Jean Jaurès !
Chaque année, depuis la loi Grenelle II de 2010, toutes les collectivités de plus de 50 000 habitants ont l’obligation de présenter un Rapport Développement Durable avant leur débat d’orientation budgétaire. En 2017, la Ville de Grenoble a opté pour un rapport plus synthétique qu’auparavant, plus pédagogique, avec un focus sur les mobilités.
Adoptée par la loi MAPTAM de 2014, la dépénalisation du stationnement payant entrera en vigueur le 1er janvier 2018. A compter de cette date, les automobilistes resquilleurs ne devront plus s’acquitter d’une amende pénale, mais régler à la collectivité un forfait de post-stationnement (FPS) dont le tarif sera délibéré au Conseil municipal du 6 novembre 2017. Retour sur cette petite révolution avec Jacques Wiart, conseiller municipal délégué aux Déplacements.
Depuis avril 2014 le groupe des élus du Rassemblement agit à la Ville, à la Métropole et au SMTC pour faire de Grenoble une ville pour tous : une ville où il fait bon vivre, respectueuse de son environnement, solidaire avec ceux qui affrontent les difficultés du quotidien. Cela se traduit par une série de réalisations et de changements déjà opérationnels dont nous listons les principaux dans un mini-journal. Voici le dixième exemplaire, axé sur nos politiques en faveur des mobilités douces.
Le 16 juin, la Ville de Grenoble a reçu pour avis le dossier de Déclaration d’Utilité Publique (DUP) du projet de réaménagement du Rondeau et de l’A480. Ce dossier doit faire l’objet d’une enquête publique avant la fin de l’année 2017 ; la déclaration d’utilité publique doit être prononcée avant la fin de l’année 2018. Les travaux devant se dérouler quant à eux entre 2019 et 2022.
Depuis avril 2014 les élus du Rassemblement agissent à la Ville et à la Métropole pour faire de Grenoble une ville pour tous : une ville où il fait bon vivre, respectueuse de son environnement, solidaire avec ceux qui affrontent les difficultés du quotidien. Cela se traduit par une série de réalisations et de changements déjà opérationnels que nous listons dans un mini-journal cliquable dont voici le septième numéro, consacré à nos politiques en faveur d’un espace public plus convivial et mieux partagé !
Ce mardi 14 février, la nouvelle gare de Grenoble, transformée en pôle d’échange multimodal, a été inaugurée après presque 3 ans de travaux. Construite pour les Jeux Olympiques de Grenoble de 1968, elle dévoile aujourd’hui un nouveau visage, aéré, accessible, confortable.
La concertation préalable qui s’est déroulée à l’automne 2016 a permis de recueillir l’avis des métropolitains sur le projet d’aménagement du centre-ville de Grenoble. Le bilan de cette concertation fait état d’une adhésion globale aux grands objectifs du projet, notamment sur l’extension de la zone piétonne du centre-ville. Celle-ci pourrait être mise en œuvre dès le printemps 2017.
Depuis le 1er janvier 2017, les possibilités d’accès au centre-ville élargi de Grenoble ont été modifiées pour les véhicules de transport de marchandises. L’objectif de ce changement est double : favoriser l’efficacité de la logistique urbaine et améliorer la qualité de l’air de la métropole grenobloise.
Lors de la votation citoyenne d’octobre 2016, la proposition portée par le C.L.U.Q. demandant à la Ville d’abroger la délibération relative à la tarification du stationnement n’a pas atteint le seuil prévu dans le cadre de ce dispositif. Cependant la majorité municipale partage la volonté de poursuivre l’échange autour de la politique de stationnement avec les acteurs concernés : nous souhaitons suivre ses effets et pouvoir l’ajuster si nécessaire, en tenant compte de la spécificité de chaque quartier.